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Journée d'études consacrée au poids de la voix de l’enfant en justice
Journée d'études organisée par Anne-Valérie Le Fur, Professeur en droit privé et Clara Bernard-Xémard, MCF-HDR en droit privé, co-directrices du Master 2 Carrières Judiciaires (UVSQ) consacrée au poids de la voix de l’enfant en justice.
L’idée est de fédérer, à l’occasion d’une journée d’études organisée au Tribunal de grande instance de Versailles le 27 novembre 2015 :
- des étudiants issus de différentes formations (respectivement de droit privé, de droit public et de science politique) de la faculté de droit et de science politique de l’UVSQ à savoir les Masters 2 Carrières judiciaires, Master 2 Carrières publiques et Master 2 Analyse des conflits et de la violence ;
- des universitaires issus de plusieurs disciplines (historien du droit, privatistes, publicistes, politistes et sociologues) et leurs laboratoires de recherche respectifs (DANTE, VIP, CESDIP),
- des praticiens (avocat, magistrats, métiers de la police, psychologue pour enfant, journaliste)
L’objet de la manifestation est de s’interroger sur le poids de la parole de l’enfant en justice en essayant de comprendre comment celui-ci est entendu, compris et perçu tant dans les domaines civil que pénal (cette dernière matière impliquant alors de décliner deux volets : l’enfant auteur et l’enfant victime). Son originalité est d’être intégralement construite autour de la pluridisciplinarité. En effet, il semble fondamental de confronter les opinions des principaux professionnels qui travaillent sur la question de savoir comment la parole de l’enfant est appréhendée en justice, pour avoir une approche véritablement complète et substantielle du thème.
- des étudiants issus de différentes formations (respectivement de droit privé, de droit public et de science politique) de la faculté de droit et de science politique de l’UVSQ à savoir les Masters 2 Carrières judiciaires, Master 2 Carrières publiques et Master 2 Analyse des conflits et de la violence ;
- des universitaires issus de plusieurs disciplines (historien du droit, privatistes, publicistes, politistes et sociologues) et leurs laboratoires de recherche respectifs (DANTE, VIP, CESDIP),
- des praticiens (avocat, magistrats, métiers de la police, psychologue pour enfant, journaliste)
L’objet de la manifestation est de s’interroger sur le poids de la parole de l’enfant en justice en essayant de comprendre comment celui-ci est entendu, compris et perçu tant dans les domaines civil que pénal (cette dernière matière impliquant alors de décliner deux volets : l’enfant auteur et l’enfant victime). Son originalité est d’être intégralement construite autour de la pluridisciplinarité. En effet, il semble fondamental de confronter les opinions des principaux professionnels qui travaillent sur la question de savoir comment la parole de l’enfant est appréhendée en justice, pour avoir une approche véritablement complète et substantielle du thème.